SABATIER Avocat – LYON
Avocat en contentieux commercial à LYON
Je sécurise vos relations commerciales
– MES DOMAINES DE COMPÉTENCES –
Droit commercial
Accompagnement des professionnels, au stade des négociations amiables ou devant les Tribunaux de Commerce, concernant la résolution de leurs litiges commerciaux :
- Recouvrement de créances.
- Concurrence déloyale.
- Litiges contractuels divers.
- Litiges relatifs à des baux commerciaux.
- Déclarations de créances.
- Déclarations d’états de cessation des paiements.
- Ruptures brutales des relations commerciales établies.
- Expertises judiciaires.
Droit des contrats
Assistance des professionnels concernant la sécurisation des documents contractuels en lien avec l’exploitation de leurs activités, et notamment :
- Négociation de contrats divers.
- Elaboration et rédaction de contrats divers.
- Conditions Générales de Vente et/ou de Prestations de Services (CGV/CGPS).
- Conditions Générales d’Utilisation (CGU).
- Contrats de maintenance informatique.
- Accords de confidentialité (NDA).
- Protocoles d’accord transactionnel.
Droit de la PI/IT
Assistance des professionnels concernant la protection de leurs droits de propriété intellectuelle et la mise en conformité de leurs traitements de données personnelles, en ce compris :
- Recherches d’antériorités de marques.
- Dépôts de marques.
- Litiges en matière de contrefaçon.
- Oppositions à l’enregistrement de marques.
- Data Processing Agreements (DPA).
- Politiques de confidentialité.
- Politiques de cookies.
- Mentions légales.
– À PROPOS DE MON CABINET –
Présentation
Originaire de Valence, dans la Drôme, j’ai suivi une formation de 5 ans (Master 2) en droit de l’entreprise et droit de la propriété intellectuelle, au sein des Universités LYON 2 et LYON 3, avant d’intégrer l’Ecole des Avocats de Rhône-Alpes (EDARA).
Après plusieurs stages au sein de Cabinets d’avocats, de Conseils en propriété industrielle et d’entreprise de la région lyonnaise, j’ai prêté serment en tant qu’avocat, en 2020. J’ai ensuite intégré un Cabinet d’avocats reconnu sur la place, dans les domaines du contentieux commercial et des procédures collectives.
Soucieux de proposer à mes clients un accompagnement le plus complet possible, j’ai ensuite intégré un Cabinet d’avocats lyonnais, au sein duquel j’ai pu approfondir ma maîtrise du contentieux des affaires.
J’ai désormais pour ambition d’accompagner les professionnels (TPE/PME, freelances, start-up, etc.) dans la gestion des principales problématiques juridiques liées à leurs activités (rédaction de contrats, mise en conformité RGPD, litiges fournisseurs, litiges clients, litiges concurrents, etc.).
Les valeurs de mon cabinet
⬥ Accompagnement sur-mesure
⬥ Combativité
⬥ Réactivité
– BON À SAVOIR –
Les CGV : le meilleur ami du professionnel
En tant que professionnel, vous avez l’obligation de disposer de Conditions Générales de Vente (CGV).
Si votre client est un professionnel, vous devez lui communiquer vos CGV, s’il en fait la demande.
Si votre client n’est pas un professionnel (consommateur, non-professionnel), vous devez lui communiquer vos CGV, avant toute commande.
A défaut, vous vous exposez à une amende d’un montant maximum de 75.000 euros, si vous exercez votre activité en société (15.000 euros si vous êtes entrepreneur individuel).
Les CGV ne doivent toutefois pas être perçues comme une simple contrainte.
Il s’agit en effet d’un outil essentiel pour sécuriser vos relations avec vos clients et ainsi :
Protéger au mieux vos intérêts ;
Réduire le risque de litige.
Disposer de CGV – de qualité – est donc un prérequis indispensable, pour exploiter sereinement votre activité.
Vous pourriez être tenté, comme beaucoup de professionnels, de reprendre à votre compte les CGV de vos concurrents, par souci d’économie.
Vous commettriez une grave erreur.
En effet, vous vous exposeriez à une action en concurrence déloyale de votre concurrent, si celui-ci s’aperçoit que vous avez copié sans vergogne les CGV qu’il a rédigées.
Surtout, vous n’avez aucune garantie que les CGV de votre concurrent sont conformes à la réglementation en vigueur et correspondent à votre activité et vos pratiques.
Compte tenu des enjeux, vos CGV doivent donc impérativement être rédigées par un juriste maîtrisant parfaitement la règlementation en vigueur.
Dans cette optique, je me tiens à votre disposition pour vous accompagner dans la rédaction ou la mise à jour de vos Conditions Générales de Vente (CGV).
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La déclaration de créance : soyez réactifs !
Lorsqu’un professionnel est placé en procédure collective (sauvegarde de justice, redressement judiciaire, liquidation judiciaire), son passif antérieur est gelé.
Autrement dit, en tant que créancier, vous ne pourrez plus réclamer le paiement immédiat de votre créance, et ce même en saisissant le Tribunal compétent.
Cette règle s’applique que vous soyez un professionnel ou non.
Vous pourrez uniquement obtenir le paiement total ou partiel de votre créance, dans le cadre de la procédure collective en cours, sous réserve de son issue (ex : adoption d’un plan de redressement ou de continuation prévoyant le règlement des créanciers en plusieurs échéances).
Pour ce faire, vous devez impérativement déclarer votre créance auprès du Mandataire Judiciaire ou du Liquidateur Judiciaire désigné, et ce dans le délai de 2 mois à compter de la publication du jugement qui a prononcé l’ouverture de la procédure collective dont objet.
A défaut, et sauf exception, vous serez forclos et ne pourrez plus réclamer le paiement de votre créance.
Il est donc important d’agir vite, lorsqu’un de vos créanciers est en état de cessation des paiements.
N’hésitez pas à faire appel à un professionnel, rompu à ces situations, pour éviter toute difficulté concernant la régularité de votre déclaration de créance.
A ce titre, je me tiens prêt à vous assister dans la rédaction et l’envoi de la déclaration de vos créances.
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Dépôt de marque : attention au risque de confusion !
Dans le cadre de votre activité, vous envisagez sans doute de déposer une demande de marque auprès de l’INPI.
Pour être valable, une marque doit respecter plusieurs conditions, sur lesquelles vous devez être vigilant.
A titre illustratif, vous ne pouvez pas réserver une marque qui serait similaire ou identique, aux yeux du consommateur d’attention moyenne, à un signe déjà déposé ou exploité par un concurrent (ex : une marque antérieure, un nom commercial antérieur, etc.).
L’INPI ne procède cependant qu’à un contrôle allégé de ces conditions de validité.
Vous devez donc vous assurer vous-même de la validité de votre marque, afin de réduire au maximum le risque que l’enregistrement de votre marque crée un litige avec un de vos concurrents.
Il est ainsi indispensable de procéder à une analyse des signes antérieurement déposés et/ou exploités par vos concurrents, avant de déposer votre nouvelle marque.
C’est ce qu’on appelle la recherche d’antériorités.
L’analyse du risque de confusion entre votre marque et les signes exploités par vos concurrents requiert de procéder à une analyse poussée des ressemblances visuelles, phonétiques et conceptuelles desdits signes, et ce en tenant compte des dernières décisions rendues par l’INPI et les Tribunaux Judiciaires spécialisés.
Ces diligences ne peuvent être réalisées correctement que par un professionnel du droit, bénéficiant d’une expérience solide en matière de droit des marques.
Je me tiens ainsi à votre disposition pour vous accompagner dans la sécurisation du dépôt de vos marques.
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La preuve déloyale c’est possible mais à certaines conditions
Par deux arrêts du 22 décembre 2023 (RG n°20-20.648 et 21-11.330), la chambre sociale de la Cour de cassation a sensiblement modifié les conditions de validité de la preuve en matière civile, à l’occasion d’un litige prudhommal.
Jusqu’à présent, il était impossible de produire en justice une preuve obtenue de manière déloyale, c’est-à-dire à l’insu de l’autre partie (ex : enregistrements clandestins, messages privés Facebook, etc.) ou sous la contrainte.
Désormais, une preuve déloyale peut être recevable, dès lors qu’elle constitue l’unique moyen de preuve du fait allégué et qu’elle ne porte pas une atteinte disproportionnée aux droits fondamentaux de la partie adverse (ex : atteinte disproportionnée à la vie privée de la partie adverse, rupture d’égalité des armes entre la partie en défense et la partie en demande, etc.).
C’est ce qu’a jugé la Cour de cassation, dans les arrêts précités, s’agissant de preuves déloyales de la faute grave d’un salarié (enregistrement clandestin d’un salarié, messages issus du compte Facebook d’un salarié).
Ce revirement de jurisprudence est récent et soumis à plusieurs nuances, de sorte qu’il doit être manié avec précaution.
Je me tiens ainsi à votre disposition pour répondre à vos interrogations concernant le droit de la preuve et vous assister dans la résolution de vos litiges.
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– COORDONNÉES ET CONTACT –
Pour toute demande d’entretien, vous pouvez me contacter, au moyen des coordonnées suivantes :
Email :
lucas.sabatier@avocat.fr
Téléphone :
06 87 19 74 80
Adresse du Cabinet (sur rendez-vous) :
18 rue des Remparts d’Ainay, à LYON (69002) – Sortie Ampère (Métro A).
Maître Lucas SABATIER collecte vos données personnelles pour répondre à votre demande.
Vous disposez de droits sur vos données. Pour en savoir plus sur la gestion de vos données et vos droits, cliquez ici